article n° 312

Bonjour à tous,
Voici les photos du Belem
accompagné d' un texte écrit par André Le N.
de Pontivy 134 (ci-dessous).
En dernière partie,
vous trouverez aussi le petit journal et la page souvenir
de la Région Six dans le Petit Galuber.
Chacun peut disposer à sa guise de ces différents documents (j’ai l’ aval de Papoun-André ) et les publier si besoin sur les blogs de nos régions .
vous trouverez aussi le petit journal et la page souvenir
de la Région Six dans le Petit Galuber.
Chacun peut disposer à sa guise de ces différents documents (j’ai l’ aval de Papoun-André ) et les publier si besoin sur les blogs de nos régions .
J’ai réalisé 2 séries de diaporama:
*le premier concerne essentiellement Concarneau- La Rochelle avec de très belles
photos du Belem et des ponts (moins occupés qu'en fin de semaine...).
http://bernardlarochelle.phanfare.com/6883568
http://bernardlarochelle.phanfare.com/6883568

http://bernardlarochelle.phanfare.com/6883569
- vous cliquez sur le lien qui s'ouvre: vous lisez le petit baratin .
- en haut à droite s'affiche "start slideshow " vous cliquez
dessus et le diaporama se lance .
- une fenêtre en bas au milieu s'ouvre "full screen" plein écran et c'est parti !
Vous pouvez télécharger par "download" en haut à droite, une ou
toutes les photos et même télécharger l’ensemble avec la musique par Download
puis download slideshow.
Je fais appel à vous pour quelques photos
qui me manquent; celles où nous avons chanté dans le grand roof (puis le
commandant seul ) et qqs photos du restaurant le soir où je n’étais pas et tout
autre photos où l’on voit Belem +
Hermione. Merci !
Bernard L. La Rochelle 117.
Résumé de quelques instants de bonheur...
façon Papoun.
À lire au degré que vous voudrez !
Il suffit de tendre la main, encore
faut-il le faire, et pour cela, nous avons été enrôlés, mission
exceptionnelle, à vous de juger... opportunité de prendre une bouffée d’oxygène
et tout ça dans la bonne humeur...
Notre subconscient, vous savez, le petit lutin, le chiant,
il y en a, nous rappelant des histoires
de capitaines partis pour des courses lointaines, lala le re, lalala.....
Mais nous, nous avons fait le
pas...
Qu'ils étaient beaux nos 8 petits « matelots-stagiaires
41 », trois plus 2 de La Rochelle 117 cinq de Pontivy
134 « Cœur de Bretagne »
partis en éclaireurs.

De cette aventure on pourrait en faire des tonnes, mais nous
n'étions que sur un navire de quelques centaines de tonneaux. Tenter de résumer
serait un exploit, nous allons nous cantonner à l'essentiel.
Pour la plupart, intermittents occasionnels, ce fut génial,
matelots sur le « Belem »,
quelle histoire, quel honneur, récompense suprême pour certains, depuis 30 ans
au 41....nous avons pourtant bourlingué, mais là, matelot, cerise sur le
gâteau.


Déjà les Glénan,
Groix, Belle Ile, Houat, Hoëdic,
Accrochez- vous au bastingage, et oui petit problème, pour certains, la houle, la digestion, c'est du pareil au même, aurait dit le
capitaine, ce qui est généreusement donné est quelques fois rendu.
Nous devinons, Pornic,
la Baule, Saint-Nazaire, Noirmoutier, Ré, Oléron,
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Note du scribe : sa technique, employer quelques mots clef,
cela fait bien, vu, qu'il n'y connaît
rien
Amis 41, nous avons quitté les côtes Armoricaines, mais que la Bretagne est belle, sous un ciel gris ou sous le soleil, il faut venir la voir, surtout quand on est
sur le « Belem », et pour que le narrateur n'ait pas de
problèmes, La Rochelle c'est
évident, a d'autres atouts, qui sont parfois les mêmes.
Je ne sais qui était de veille, qu'importe, René, peut-être, oui, oui, c'est
lui, pour les initiés, j'ai reconnu sa voix... terre, terre, bouée
verte à bâbord, bouée rouge à tribord, gauche ou droite, pour la compréhension a
dit le commandant, l'essentiel c'est d'être
sur la bonne voie, la voie Royale évidemment, auraient dit certains
taquins.
Là, je surfe, je divague peut-être...qu'importe, parfois je
rame....
Nous découvrons La
Rochelle, perle de l'Atlantique, à première vue, l'entrée du port magique,
cela respire l’opulence, le bien-être,
un dernier élément confirmant mes propos, et ce n'est pas un coup d'épée
dans l'eau,
Oh, une dernière
balise, jaune et noire, une
« cardinal » évidemment, me confirmant vous l'avez deviné, Eminence,
que c'est un « Richelieu ».... cela est une autre histoire.

Maintenant cela va être la fête avec d'autres 41, exploit,
merci au besogneux, 20 clubs sur le
bateau, les retrouvailles, les
invités, le mouillage à l’île d'Aix, super week-end, une image bien sûr, ce qui
va suivre, sur notre navire 41, nous
avons vu l'Hermione, frôlant le Belem, possible accouplement, je ne sais pas si cela va marcher, entre 2
grands navires.
Il s'en est peut-être passé des choses, pour eux je ne sais,
il fallait y être, les canons,
l'émotion, le feu d'artifice, tous les ingrédients, pour l'osmose, ils ont sans
doute coïté, au creux d'une vague, on
peut rêver, mais pour nous, pour ma
gouverne j'en suis certain, pour le 41, nous avions les yeux bordés de
reconnaissance et dans un proche avenir, je le souhaite, encore une image, un
souhait, toujours pour notre club, de cette extraordinaire aventure, et la rencontre furtive, de ces magnifiques voiliers, naîtront et
viendront nous rejoindre des optimistes par milliers.
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Juste quelques mots, pour comprendre la suite, pour votre gouverne, avec votre soif
d'apprendre, quelques termes techniques, pour faciliter la narration, pouvoir
développer, pour exemple, dans
l'intimité de notre carrée,
Participer à une bordée, c'est simple, comme vous le
savez, bien que, ça ne coule pas de
source, mais sur un bateau c'est plus compliqué, c'est l'équipe de quart formée
avec le tiers du personnel, je n'ai sans doute pas tout compris, rapportez-vous
au livret d'accueil, page 21 et 24.
J'ai bien aimé aussi « gaillard d'avant », pour
nous c'était plutôt « le gaillard
d'après », il y aussi prendre la vague, le vent, le marnage, il y a
des hauts, des bas, les vieux gréements, ne pas confondre avec la pyramides des
âges, les vieux-honoraires qui restent dans le vent, ouvrir les écoutilles, le
pavillon haut, pas facile a placer dans une conversation, j’entends bien,
mais pouvant meubler une statutaire, en
manque de sujet... avalanche de mots demandant réflexion... etc. etc.
Encore mieux, proposer une dissertation dans un autre
domaine....
Sujet : « imaginez 5
nuits à bord » où tous les mots, fantasmes , ont une saveur particulière,
dépassant le raisonnable de
l’imagination, non, non, vous ne rêvez
pas, écoutez... calés dans nos bannettes, 60 cm de large, pour éviter le
ballottage et apprécier les dernières histoires, grivoises bien entendu, qu'ils
sont bavards ces petits marins, attention, premiers ronflements, prenant de l'importance
dans ce milieu confiné, où la promiscuité
peut générer des situations particulières, d'où l'expression à voile et
à vapeur, n'est pas qu'une vue de l'esprit, ce n'est que mon interprétation.
Je rassure, tout c'est bien passé, malgré l'étroitesse des
coursives, il y a aussi ceux qui aiment à se signaler par des bruits
« suspects ».
En quelque sorte, analysez chaque mot, ou gymnastique intellectuelle, nous fait entrer dans un autre monde, avec les multiples significations de notre langue, par exemple, dans la pénombre, pour les pervers, des compétants-comploteurs ont compromis un convaincu, ceci demandant réflexion. Eustache est en éveil, n'oublions pas les bruits de pets, nous ne faisons pas la guerre, il y a aussi les silencieux-pernicieux, qui ont mauvaise haleine, dans cette joyeuse ambiance n'oublions pas non plus « l'escale technique », pour problèmes de prostate, pour faire simple, envie de pisser sans déranger le copain, ça va, ça vient... mais c'est humain...

Afin de ne pas déraper dans les affaires des autres, sujet
peu banal, il est vrai, mais avec les précautions d'usage pouvant rester dans
les annales.
Après ce paragraphe, je tourne
la page je suis au bout du rouleau...
Tout est bien qui finit bien, il faut un épilogue, nos 5
Bretons perturbateurs, de Pontivy 134
« Cœur de Bretagne » n'avaient pas dit leur dernier mot, ils
avaient les moyens de vous faire chanter....pour vous dire Kénavo, Kénavo... cela veut dire, au revoir et à bientôt...en
breton évidemment.
Car à toute histoire ou aventure, il faut une fin, et cette
aventure se termine par une chanson,
c'est notre façon à nous de dire merci, si le cœur vous en dit, avec la chorale
de Pontivy « Coeur de Bretagne », soutenue par tous les amis 41....
![]() |
Kénavo ! Kénavo ! |
C’est facile, sur l'air de la jument de Michao, reprise par
Nolwenn Le Roy, avec le refrain « le sien » que vous
devez bien connaître,
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C’est dans dix ans je m'en irai,
j'entends le loup le renard chanter,
C’est son refrain, voici
le mien,
Super navire quarante et
un,
C’est UN pour TOUS et TOUS pour UN
Super navire quarante et un,
C’est UN pour TOUS et TOUS pour UN
Les couplets :
Le club 41 et ses petits
marins sont entrés dans l'histoire avec beaucoup d'entrain
Le club 41 et ses petits
marins ont surfé sur la vague tout comme les dauphins
Merci Philippe, tous tes copains, ils sont du club quarante et un
Merci Jean-Pierre et tes clampins, d'en avoir fait de vrais marins
Amis de La Rochelle et aussi du Belem, vous nous avez conquis pour un
autre week-end
Pari gagné quarante et un,
qu'ils étaient beaux nos petits marins
Grand coup de chapeau à La Rochelle, sans oublier le beau Belem
Une révérence pour l'Hermione, quelle était belle en
caravelle
Merci les gars vous êtes
champions, cela est sûr, nous reviendrons.
Le dernier couplet se lit,
Belem-Hermione, magnifique édile, deux magnifiques voiliers, par leur rencontre furtive
Ils ont du coïter, et que bientôt naîtront, des milliers
d'optimistes, et de cela, j'en suis certain,
Belle leçon d'amitié, ou
autre façon, c'est selon, pour que notre cher club 41 club perdure et grandisse
dans la sérénité.
Je sais, j'ai déjà
dit, il est bon parfois d'en remettre une couche....
Amis, la balle est dans notre-votre camp, il faut créer
l’événement
Papoun,
matelot honoraire.
Refrain, Super
navire quarante et un,
Un pour tous, et tous pour un...
Super navire quarante et un...un pour tous, tous
pour un !
La Région 6 était aussi sur le BELEM
le rédacteur de la 6ème Région : François F.