lundi 6 janvier 2014

Le club des Sables d'Olonne 75 fête Noël.

  le 13 décembre  2013
 Nous étions 26 à cette soirée symbolique de Noël avant la date.
 
  Pour ce repas de fête, nous étions accompagnés de nos épouses et honorés de la présence de notre Président de région et de sa dame. Les tenues impeccables faisaient honneur, les rires et la bonne humeur traduisaient le plaisir d’être ensemble.

      Pierre et Marie Pierre avaient joliment dressé deux grandes tables pour notre plaisir. Le repas exotique a suscité toute notre curiosité à l’image de cette spectaculaire Dorade Coryphène (voir photo) que nous avons dégustée presque en totalité. Rien ne manquait ni l’originalité du repas ni la volonté de nos hôtes à nous recevoir parfaitement.

      Dans le déroulement de ces soirées, il est intéressant d’observer le comportement des invités, Il apparait manifestement que certains sont passés à côté de réelle vocation. Jean Guy par exemple, aurait pu faire carrière dans la chanson. Preuve quand il murmurait à l’oreille de Dany le répertoire de Alain Barrière et en particulier quand il lui chantait « elle était si jolie », celle-ci charmée par la mélodie et le talent de l’interprète ne pouvait que cligner des yeux à la manière de Betty Boop.  Instant bien réel et très amusant pour tout l’entourage…

      Les conversations allaient bon train et c’est assez tardivement que nous nous sommes séparés avec la promesse de nous revoir très bientôt.
                 Merci à Pierre et Marie Pierre pour cette belle soirée et leur accueil chaleureux!

       Prochain rendez-vous le vendredi 10 janvier 2014.
 Je vous préciserai tous les détails de cette statutaire dans un prochain message.
Jacques, notre président, nous commentera le très réussi voyage à Strasbourg qui a ravi tous les participants.

        Dans l’attente? joyeux réveillon à tous !
                                                                                Amicalement
                                                                                                                               Robert Th.
article n° 69

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