Belle et chaude soirée
" Beaujolais "
Chers amis bonjour,
Vous
l’aurez tous compris, c’est davantage pour satisfaire une lointaine tradition
que pour glorifier les qualités de ce breuvage, qu’au 41-37, pour chaque sortie
du Beaujolais nouveau on fait la fête. On n’y peut
rien, c’est comme ça.
Bien
sûr on vous dira que pour picoler les 41 sont toujours là, et pour preuve de
l’intérêt à la chose nous étions quand même une trentaine au restaurant « Les Amis de la route » pour
affronter l’évènement .
Apéro
sans surprise, du Beaujolais nouveau, qui avait en ce lieu, comme un subtil
goût de vin rouge … Et comme pour faire saliver les absents André étrenna son
nouvel appareil photos sur les canapés.
L’ambiance sonore était copieusement assurée par une sympathique
chanteuse Britannique, dont l’attraction ne se résumait pas uniquement au seul
timbre de sa voix … Et qui du reste chantait fort bien sur des airs
traditionnels et entrainants qui chauffèrent l’assistance.
A table ! Menu
traditionnel d’un resto « Bord de Route » dont l’essentiel reposait
sur une ....
magistrale entrecôte qui n’échappa point
au professionnalisme d’André.
Interventions des 2
Jacques :
Tout d’abord Jacques B, qui sur ses terres
du Pontaroux et usant de son privilège de vétéran, nous conta certains
évènements historiques et humoristiques méconnus de tous, qui se sont produits dans ces lieux.
Puis ce fut l’autre Jacques , M qui nous
proposa une visite dimanche de « Ses Gastronomades », agrémentée d’un déjeuner dans le cadre des Halles
centrales, concocté par Bachelier, spécialisé en foie gras et canard. Au
dernier pointage, nous devrions être environ une vingtaine.
De mon côté, j’ai indiqué que les
documents nécessaires à la collecte des publicités pour la soirée de Gala du 13
février étaient disponibles, et que j’allais les distribuer aux
habituels contributeurs sans attendre. Ainsi qu’aux autres
d’ailleurs, car nous avons tous des relations, non ?
Chaude ambiance, n’est ce pas les
filles !
Ainsi fut célébrée façon 41-37 l’arrivée du nouveau Beaujolpif par la lente
et inexpliquée disparition d’une vingtaine de petites bouteilles. Normal !
Voilà. Retour à la maison sans histoire,
pas le moindre petit contrôle sur la route. Du bol ! Sauf pour moi à
l’aller, où ma voiture en pleine vitesse fit la connaissance hasardeuse d’un brave sanglier, qui n’a même pas cru
devoir attendre pour faire un constat. Résultat, aucun cuissot ou gigot
récupéré, seule une opportunité pour notre ami carrossier …
Merci André pour ces photos, ton nouvel
appareil photo est top !!!
Bien amicalement, et à très bientôt aux Gastronomades.
Albert
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